Bonheur fantôme Anne Percin pdf francais

Bonheur fantôme

par Anne Percin
Couverture du livre de Bonheur fantôme

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Broché : 242 pages
Auteur : Anne Percin
Editeur : Editions du Rouergue
Collection : Premier Roman
ISBN-10 : 2812600632
Format : Paperback, Hardcover, Epub, PDF, Kindle
Date de Publication : 15/08/2009
Moyenne des commentaires client : 3.92 étoiles sur 5 83 commentaires client
Nom de fichier : bonheur-fantôme.pdf (Vitesse du serveur 21.09 Mbps)
La taille du fichier : 27.26 MB

Cherchez-vous des Bonheur fantôme. Savez-vous, ce livre est écrit par Anne Percin . Le livre a pages 242. Bonheur fantôme est publié par Editions du Rouergue. Le livre est sorti sur 15/08/2009. Vous pouvez lire le Bonheur fantôme en ligne avec des étapes faciles. Mais si vous voulez le sauvegarder sur votre ordinateur, vous pouvez télécharger maintenant Bonheur fantôme.

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Vous trouverez ci-dessous les commentaires du lecteur après avoir lu Bonheur fantôme. Vous pouvez considérer pour votre référence.
Pierre, jeune homme de 28 ans, veut changer de vie et décide de tout plaquer. Il quitte Paris pour aller s'installer dans une petite ville isolée dans la Sarthe, loin de tout, de sa famille, ses amis. Par petites bribes d'informations distillées tout au long du récit, Pierre nous raconte les raisons de son départ, cette décision radicale mais qui a muri en lui. On comprend alors peu à peu pourquoi cet homme blessé, meurtri, amoureux, solitaire a voulu partir. Rapidement, j'ai eu l'impression de connaître Pierre. C'était comme un frère dont on comprend les blessures, son besoin de solitude... Ses mots et ses émotions nous parlent, nous ressemblent un peu. C'est un mélange à la fois de douceur et de tristesse mais aussi de sourires, de rage, de souffrance. Un entrelacs d'émotions qu'on a vécu au moins une fois. Pierre laisse tout derrière lui, quitte à se faire mal, à s'amputer peut-être. Pierre est notre âme solitaire, loin du tumulte du monde, loin du bruit. Loin de son amour aussi pour R., cet homme plus âgé que lui, celui qui le porte, le fait fondre. Pierre, c'est aussi celui qu'on aimerait être sans jamais en avoir vraiment le courage, ce courage de tout faire valser, de changer de vie, d'écouter cette petite voix qui nous dit ‘'ça suffit de vivre en apnée. Il est temps de vivre selon nos convictions, nos aspirations profondes et nos rêves''. La Fourche, lieu-dit où il s'installe pour devenir brocanteur, est un nom bien trouvé pour raconter le nouveau chemin que Pierre décide de prendre, une nouvelle vie qu'on décide de vivre et qu'on assume parce qu'on l'a choisie. La peintre Rosa Bonheur dont il veut écrire la biographie est comme l'emblème de ces désirs et de cette vie assumée, loin du dictat social. Une vie sûrement plus dépouillée, plus difficile financièrement, à manquer souvent d'argent pour s'acheter même l'usuel. Alors c'est la débrouille qui prime, le troc et l'entraide entre voisins. Socialement, c'est juste un café chez la voisine, quelques moments passés dans le bar du coin ou à la crêperie de Jean-Michel pour arrondir ses fins de mois. C'est apprendre à vivre avec le strict nécessaire, sans le superflu, sans l'inutile. C'est comprendre ce qui est vraiment important. C'est retrouver son corps, par la brocante tout d'abord (les meubles à transporter, les réveils dans la nuit, dans le froid), par l'alimentation moindre, par le travail dans le jardin, les balades dans les champs avec ses chiens. En termes d'allégorie, ce n'est plus la grande route professionnelle qu'on pourrait fantasmer à Paris. Non, ce petit chemin que Pierre prend, loin de la vie parisienne, c'est un bout de nature, entouré d'animaux (à devoir parfois refaire les gestes des anciens qu'on n'avait plus besoin de faire : la préparation du lapin offert par la voisine, moment drôle et épique !). C'est aussi la liberté, la part sauvage qui est en nous, le plaisir des petits riens, retrouver ses sens. Laisser parler son coeur, l'écouter et peut-être même le laisser pleurer mais pour le laisser à nouveau battre, crier, hurler, vibrer. Et aimer. Trouver un nouveau souffle, de nouvelles envies. Partir pour enfin vivre. Partir pour apprivoiser ses fantômes. Les vivants et les morts. Partir pour renaître. Et goûter à l'essentiel. Un plaisir qui ressemble pas mal à celui que j'ai eu en me plongeant littéralement dans ce roman, comme dans un petit cocon, protecteur et régénérant. Je ne connaissais pas Anne Percin avant de lire ce roman. Et je remercie cette amie Babelio qui -pour un contexte particulier- m'a conseillée un autre roman de cette auteure (‘'Les singuliers'' que je n'ai malheureusement pas trouvé à ma Médiathèque). Par ce petit billet, comme un passage de témoin, j'espère transmettre à mon tour peut-être l'envie de découvrir cette auteure à la plume tendre et délicate. Un plaisir simple, tranquille, sans fioritures. Un petit moment qui fait du bien. + Lire la suite

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